Au fil du temps, le biocarburant s’est ancré au sein de trois générations :
Le biocarburant dispose de nombreux avantages étant donné qu’il :
L’hydrogène est considéré comme un vecteur énergétique étant donné que son extraction des ressources primaires comme la biomasse ou l’eau nécessite une source d’énergie comme l’électrolyse qui consiste à séparer l’eau en oxygène et en hydrogène.
Celui-ci est donc soumis à différentes étapes dont sa production et son stockage avant de pouvoir être utilisé et tirer avantage de ses propriétés avantageuses pour l’environnement.
L’hydrogène est dit « vert » ou « décarboné » lorsque ni l’énergie employée pour sa production ni son utilisation n’émettent de CO2.
De plus, il se caractérise par sa capacité à être stocké sur le long terme, surmontant ainsi les contraintes climatiques auxquelles peuvent faire face les autres sources d’énergies renouvelables.
Cette alternative au carburant classique est obtenue par méthanisation qui produit moins de particules polluantes et se particularise par le fait d’être l’une des énergies les plus économiquement avantageuses, ce qui le place en tête des combustibles « verts » les plus plébiscités dans le monde.
Le gaz naturel pour véhicules (GNV) émet en effet 80% d’oxydes de carbone et 25% de CO2 de moins que l’essence ou le diesel du fait qu’il soit constitué à 97% de méthane.
Le bioGNV, une version encore plus écologique du GNV, est obtenu à partir de la méthanisation des déchets organiques et se distingue par un bilan carbone pratiquement neutre.
Que ce soit le GNV ou le bioGNV, ces deux gaz présentent quasiment les mêmes atouts et assurent aux consommateurs de rouler non seulement en réalisant des économies sur leurs postes carburant, mais aussi en s’assurent que leurs déplacements ont un impact moindre sur l’environnement.